Tu n’as aucun tort. Mes aïeux
Ont du aimer ces basiliques
Où parmi l’or des mosaïques
Brillent des cailloux durs et bleus.
– Tu n’es pas, face pathétique,
Responsable d’avoir tes yeux !
– Et ce regard qui semble inique
À mon coeur, dans ses lourds moments,
Je le sens malgré mon tourment,
Tu le portes innocemment…
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles